Des mots à partager
<< Les mots ne meurent pas,
ils se déposent dans le cœur de ceux qui les ont aimés.>>
Une musique pour chaque chapitre.
Il vous faudra éteindre la musique,
Puis cliquer sur la musique suivante.
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Massenet : Méditation de Thaïs
Elle arrive, je l'entends, là, fragile, elle est poésie
Il faut bien continuer à revenir, comme à renaître.
Regardez comme elle est merveilleuse,
Elle vient du silence avant la note,
du trait qui hésite, s'élance dans l'ombre,
une lumière fragile se lève,
une silhouette trouve son souffle.
Crayon contre papier, cœur contre mystère.
Le geste cherche la musique
et la musique répond.
Alors apparait l'invisible,
une étoile debout.
Danse...
*****
Elle danse
Même dans le noir
elle cherche l’espace dans lequel la vie respire
Son corps n’est pas limité par la forme.
Il s’étire, se dessine, se rêve
Chaque ligne est un souffle
chaque courbe, un départ
Sous elle, un poisson la porte
gardien des eaux anciennes
guide silencieux de ses élans
Il veille pour qu’elle n’oublie pas
d’où vient la danse
Dans ses gestes, il y a de la joie
de la témérité aussi
l’envie de toucher des couleurs
que l’on n’avait jamais osé approcher
Elle danse pour ceux
qui regarderont demain
elle danse pour transmettre
l’éclat de la liberté intérieure
Elle danse…
Car tant que le geste continue
le cœur, lui aussi, s’invente encore.
*****
Ils roulent, ils volent,
ils font les guignols !
Deux amis rigolos,
qui touchent le ciel… sur un vélo !
ils font les guignols !
Deux amis rigolos,
qui touchent le ciel… sur un vélo !
Une histoire les enfants ?
<<Les enfants ! Vous voulez,une histoire drôle ?
Je vais voir mon ami, et lui demander !
Ami, ! Du bout du monde ou du haut du ciel,
toujours prêt à inventer
des histoires qui font bondir les sourires
et valser les chapeaux... Les enfants te demandent
et valser les chapeaux... Les enfants te demandent
une histoire drôle et amusante...>>
<<...Oui !, je t'en tends, d'accord,
je vais la faire, mais Toi,
tu seras le messager des éclats de rire,
et moi, le chapelier des idées farfelues !
À toi, ami artiste et poète du cirque ?
Merci de faire briller les yeux des enfants
On se retrouvera chaque fois que tu le demanderas,
À bientôt…!!!
Sous le grand chapiteau de l’imagination !... >>
Ton ami Astreline.
Cliquez sur le lien, pour voir le blog...
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Ce blog n’est pas un musée.
C’est un atelier ouvert, un lieu de partage et de résonance,
où l’ancien et le nouveau s’entrelacent comme
C’est un atelier ouvert, un lieu de partage et de résonance,
où l’ancien et le nouveau s’entrelacent comme
Thésée et son Minotaure.
Je vous invite à vous y perdre doucement,
car parfois, c’est au cœur du labyrinthe que l’on retrouve le chemin de soi.
Je vous invite à vous y perdre doucement,
car parfois, c’est au cœur du labyrinthe que l’on retrouve le chemin de soi.
Dialogue poétique entre l’encre et la mémoire
. Il y a des dessins que l’on ne fait qu’une fois,
et qui pourtant continuent de se dessiner en nous.
Celui-ci, à l’encre noire, je l’ai tracé il y a bien des années,
à l’époque où les formes cherchaient encore à comprendre leur ombre.
et qui pourtant continuent de se dessiner en nous.
Celui-ci, à l’encre noire, je l’ai tracé il y a bien des années,
à l’époque où les formes cherchaient encore à comprendre leur ombre.
Je l’ai appelé Thésée et le Minotaure.
Non pour raconter un mythe ancien,
mais pour donner figure à un combat intérieur :
celui que l’on mène, toute une vie, entre la raison et l’instinct,
entre le plan et le vertige, entre le dessin et le rêve.
Non pour raconter un mythe ancien,
mais pour donner figure à un combat intérieur :
celui que l’on mène, toute une vie, entre la raison et l’instinct,
entre le plan et le vertige, entre le dessin et le rêve.
Le noir et le blanc s’y affrontent comme deux vérités irréconciliables.
Le damier devient un labyrinthe géométrique,
où chaque case s’ouvre sur une autre,
où la ligne ne sait plus si elle enferme ou délivre.
Thésée n’est pas un héros ici : c’est un chercheur de clarté,
et le Minotaure, son double caché, celui qui tremble dans la nuit du papier
Le damier devient un labyrinthe géométrique,
où chaque case s’ouvre sur une autre,
où la ligne ne sait plus si elle enferme ou délivre.
Thésée n’est pas un héros ici : c’est un chercheur de clarté,
et le Minotaure, son double caché, celui qui tremble dans la nuit du papier
Je repense souvent à cette époque, celle où je sortais des Beaux-Arts,
où j’avais un pied dans l’architecture, un autre dans le décor,
et où la télévision française s’appelait encore la R.T.F…
C’était le temps où l’on fabriquait les rêves avec des planches,
où j’avais un pied dans l’architecture, un autre dans le décor,
et où la télévision française s’appelait encore la R.T.F…
C’était le temps où l’on fabriquait les rêves avec des planches,
des clous et des pinceaux.
Un temps d’artisans de l’illusion, où le décor était
Un temps d’artisans de l’illusion, où le décor était
un poème en trois dimensions.
Aujourd’hui, je reprends ces vieux dessins,
je les éclaire d’un écran, je les laisse respirer dans la lumière du web.
Les blogs sont devenus mes nouveaux ateliers :
des labyrinthes modernes où mes anciennes encres retrouvent voix.
je les éclaire d’un écran, je les laisse respirer dans la lumière du web.
Les blogs sont devenus mes nouveaux ateliers :
des labyrinthes modernes où mes anciennes encres retrouvent voix.
Ce dessin, c’est un miroir.
Le Minotaure, c’est le passé qui ne veut pas mourir.
Thésée, c’est ma main d’aujourd’hui qui le regarde avec douceur.
Et dans ce combat silencieux, je reconnais enfin
non pas la victoire d’un héros,
mais la paix du créateur dans les silences et ses lumières.
Le Minotaure, c’est le passé qui ne veut pas mourir.
Thésée, c’est ma main d’aujourd’hui qui le regarde avec douceur.
Et dans ce combat silencieux, je reconnais enfin
non pas la victoire d’un héros,
mais la paix du créateur dans les silences et ses lumières.
Mes dessins sont l’encre du passé, mes blogs en sont la respiration présente
et, mon Dialogue poétique entre l’encre et la mémoire en est
Le fil d’Ariane.
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